Temps forts

Le rétablissement budgétaire

La mise en évidence, dans les discussions budgétaires avec les tutelles, d’un déficit structurel, très important mais jusque-là masqué, a conduit à la présentation durant trois ans de budgets négatifs qui ne pouvaient bien évidemment pas être acceptés par le Rectorat. Ceci a donc mené à une négociation, difficile mais qui a permis d’obtenir un soutien exceptionnel pérennisé de 9 M€. Le rétablissement du budget est en cours, mais il faut rester vigilant et obtenir les quelques 2 à 3 M€ nécessaires pour combler le déficit structurel.  

Augmentation significative du nombre d’enseignants et enseignants-chercheurs Le taux de couverture (c’est-à-dire le nombre d’heures d’enseignement réalisées sur le service des titulaires), rapporté aux effectifs de l’année 2023-24, est passé en 3 ans de 52,7% à 58,6%. Cette augmentation de 6% a été réalisée grâce à la création de 37 postes nouveaux (3 PR, 30 MCF, 4 PRAG) auxquels s’ajouteront ceux demandés cette année (7 à 9 suivant le résultat des négociations avec le Rectorat). L’objectif d’atteindre un taux de 60% dans chaque département est réalisable en 5-6 ans si cette politique volontariste est poursuivie. Entre 2016 et 2020, le nombre de postes avait en tout augmenté de 2.

Un nombre de BIATSS en forte croissance

Dans la même période, le nombre de postes de titulaires BIATSS a augmenté de 20 et un fort repyramidage a été opéré, le nombre de titulaires C baissant au total de 29 quand celui des B augmentait de 24 et celui des A de 25. Là aussi, plusieurs nouvelles créations et titularisations sont prévues cette année. Cette nette augmentation a été permise, en particulier, par la requalification de 93 supports comme « permanents » ce qui permet des recrutements de titulaires. Le nombre de titulaires avait augmenté (A,B,C confondus) de 4 entre 2016 et 2020.

Des opérations immobilières nombreuses et importantes

La réactivité et l’ambition dans les réponses à différentes opportunités (Opération Campus, CPER, Plan de Relance,…) ont permis de finaliser ou lancer des programmes qui vont profondément transformer nos conditions de travail, même si pour l’instant nous sommes dans le « dur » des chantiers : rénovations des bâtiments W et Z et de la partie ancienne de la maison des personnels, réhabilitation des amphis 1,2,3 et de leur parvis, et du bâtiment Ramon Llull (ancienne bibliothèque), doublement du programme de construction de La Fabrique, extension conséquente de l’Antenne de Béziers, obtention et réhabilitation du site Boutonnet, construction d’une crèche sont des programmes réalisés, lancés ou obtenus durant ce mandat. D’autres opérations sont en cours de négociation.

L’accent mis sur la réussite des étudiants

Retour aux 13 semaines de cours, renforcement du disciplinaire, double prise en compte des modules suivis (diplôme/compétences), efficacité accrue du PPP, création de la Direction des Études en charge de l’Aide à la Réussite (DEAR), rôle de l’ATELIER et des RUN, humanités numériques et humanités écologiques, défense de PaRéO et dispositifs L1+, L2+ sont autant de réalisations qui ont permis d’améliorer notablement la réussite en Licence. Pour les Masters, des actions ont été menées mais il reste une marge de progression pour accroître la réussite.

Une recherche intensive reconnue

MIRANDA est le seul PIA 4 reconnu dans le domaine des LLA-SHS. Il complète un nombre de mesures qui confortent notre établissement en tant qu’université de recherche intensive : renforcement des actions de publication, médiatisation et communication scientifiques, participation à la Fête de la Science, politique d’accueil des nouveaux arrivants, dotation à 2000 € par chercheur…


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